Depuis quelques jours, le journal Hebdomadaire Climat Social dans ses parutions du 22 et 25 septembre 2023, a publié des allégations à l’encontre de Sa Majesté ABOUBAKARY ABDOULAYE, LAMIDO de REY BOUBA, Personnalité Politique, Religieuse et Traditionnelle, Premier Vice Président du Sénat.
Les grandes Unes des numéros 505 et 507 de Climat Social disent je cite: SENAT: LA TRANSITION DU POUVOIR. LE DICTATEUR ABOUBACARY ABDOULAYE DU REY BOUBA POUR REMPLACER MARCEL NIAT NJIFENJI; VOICI COMMENT LE MONSTRE ABOUBAKARY ABDOULAYE, LAMIDO DE REY BOUBA ASSASSINE PAR LA TORTUE, LA DICTATURE, L’ESCLAVAGE, L’ABUS DU POUVOIR ET D’AUTORITÉ LA POPULATION DU SEPTENTRION.


Une image doit-elle créer un scandale? Des allégations très graves contre cette haute personnalité qui laissent la communauté de Rey Bouba dans une impasse insoutenable. Pourquoi se léguer à de telles accusations sans preuves pour mettre tout un peuple en branle?
Ne dit-on pas que la science du journalisme n’est basée que sur des faits? Un fait est une donnée vérifiée et vérifiable. C’est à dire réelle, appréciable par tous, qui ne souffre d’aucune contestation parceque la véracité y est. À regarder ce tabloïd de près, il s’agit d’un tissu de mensonges montés de toutes pièces par des personnes mal intentionnées en quête de perdiem communément appelé <<gombo>>. On parle de la sacralité des faits. Où est elle passée ici? Pouvez-vous citer des cas? Des lieux ? Des dates? Où sont passés l’éthique et la déontologie journalistique?
Les hommes de médias sont furieux et appelent à la diffusion de la bonne information.
Aucun discrédit ne peut être évoqué face à un fait, sachez le! Il faut donc savoir qu’il y’a à côté de hautes personnalités comme cette illustre figure politique, religieuse et traditionnelle sa Majesté le LAMIDO de REY BOUBA, Premier Vice Président du Sénat que vous voulez traîner dans la boue, des personnes aguerries en communication et surtout, en matière de déontologie, d’éthique et de droit des médias.
Et pour cela, nous voulons donc vous préciser que nous pouvons intenter des procédures judiciaires à votre égard. Nous nous réservons ce droit et ce, aux niveaux de toutes les juridictions du pays où ce journal est supposé paraître et de manière simultanée, vous y répondrez au delà, d’être devant le conseil national de la communication.
Vous dévoilerez donc là bas vos sources et présenterez les facts simulés des actes de tortures,de tuerie que vous êtes supposé détenir, si on parle de la science du journalisme.
Cabale ou Coup monté? Quel est le Projet?
La vérité triomphe toujours. Sachez qu’il y’a bien des pistes qui indiquent qui sont vos commanditaires tapis dans l’ombre. Mais, rassurez vous, nous n’allons pas vous suivre dans la voie de la bassesse. Ces gens qui achètent votre conscience. C’est même à quel prix ? Êtes-vous sûr d’être vraiment journaliste ?
Si ce n’est la porosité de la définition qui vous en donne le droit au Cameroun ? Dites donc à vos commenditaires d’arrêter la basse manœuvre s’il vous plaît. Ceci a valeur de remise à l’heure des pendules.
On pourrait commencer par un droit de réponse avec les Unes comme vous l’avez fait et votre journal, si c’en est un, se retrouverait très rapidement dans le caniveau par se décrédibiliser.
C’est à vous de voir…
On peut vous suivre dans votre sale besogne.
Tjang Frida