C’est à l’observation, une histoire cousue de fil blanc que certaines officines voudraient faire porter à  la Commission des droits de l’homme du Cameroun, pourtant au fond, il n’en est rien, dame Nkouete Messah Judith a été licenciée en respect de toute les procédures légales.

Le feuilleton judiciaire qui oppose le président de la Cdhc à dame Nkouete Messah Judith espérance est loin de livrer tous ses secrets. Surtout que cette ex-employée en dépit de tous les revers qu’elle a essuyé jusqu’alors persiste et signe qu’elle aurait été licenciée abusivement.

Dans la trouvaille du journal « Kalara » n⁰ 503 du 30 mai 2025, se trouve pompeusement à la une « Affaire harcèlement sexuel : la Condamnation de la Commission des droits de l’homme requise ». Une preuve par quatre, des manœuvres de dame Nkouete Messah Judith pour vouloir passer pour victime devant l’opinion. Et pourtant, le procureur près la cour d’appel du Mfoundi s’est prononcée uniquement sur la rupture des relations  professionnelles entre cette ancienne employée et la CDHC qui était son employeur. Certains médias ont commencé a affirmé dans leurs colonnes que la Commission est condamnée à payer les droits à cette ancienne employée. Alors qu’à ce niveau, il n’est pas question de l’affaire du présumé harcèlement sexuel, mais plutôt de celle de rupture du contrat de travail. Autre argument spécieux qui barre la Une de ce journal est qu’il affirme que demande a été faite à la Cdhc de payer les droits de  dame Nkouete. Alors qu’on exige simplement à la Commission d’apporter des preuves suffisantes au tribunal qui justifient ce licenciement.

Manifestement, dame Nkouete qui est une as des basses besognes avec pour seul dessein de nuire et ternir la réputation du Pr James Mouangue Kobila, serait assurément celle qui est derrière cette publication avec le concours de certains de ses affidés qui tireraient les ficelles dans l’ombre. Pour le moment, à la lumière des éléments mis à notre disposition, la Cdhc se prépare à aller présenter à nouveau ces preuves au tribunal. Au lieu d’attendre ce moment important dans la suite de cette affaire, l’ex-employée de la Cdhc alimenterait les esprits pour jouer la victime. Dame Nkouete s’appuierait sur la presse pour atteindre ses sombres ambitions. Alors que ses états de services remplis d’une ribambelle de frasques sont visibles comme le nez sur le visage.     

Rappel des faits 

Le licenciement de Nkouete Messah Judith Esperance est passé par plusieurs étapes normales. La première étape fut incontestablement, sa mise à pied suivant la lettre du secrétaire permanent  de la Cdhc, le magistrat Abouem Esseba Jean pierre. Cette mise à pied tirait les leçons de plusieurs fautes professionnelles commises par cette mise en cause dont il est important de rappeler, à savoir: les défaillances et négligences graves dans l’exécution de ses tâches professionnelles ; l’insubordination caractérisée et désobéissance envers la hiérarchie avec comme preuve, son refus constaté le 18 décembre 2023 de répondre à la demande d’explication sous deux jours, adressée le 12 décembre 2023 ; la non transmission de la version anglaise du rapport thématique  du président de la Cdhc sur « La lutte contre les violences des droits de l’enfant », qui devait servir de support didactique à une table ronde  au Kenya en juin 2023 ; entre autres.

En février 2024, dame Nkouete était appelée à s’expliquer au conseil de discipline de la Cdhc, trois sessions étaient consacrées à cette affaire, notamment le 25 janvier, le 13 et 27 février 2024. A toutes ces instances, elle a brillé par son absence. Ces absences qui avaient valeur d’aveu ou de défi face à l’institution, ont constituées des circonstances aggravantes qui ont conduit à ce licenciement. Logiquement, Nkouete Messah Judith Espérance avait déjà pris la voie de l’affront, alors que la porte lui était ouverte pour donner sa version des faits sur les manquements professionnels  qu’elle affichait  à la Cdhc. Même jusqu’à date, elle refuse de dire la vérité et continue de manipuler tout le monde pour servir une cause sordide. 

                                                                       By Suzanne MAAH    

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