Arrivé en fin de mission au sein de l’équipe de SCET-Tunisie, M. TAREK HERMI, a été reçu en audience le mercredi 11 Juin 2024 par le Ministre des Travaux Publics, Emmanuel Nganou Djoumessi.
Durant les échanges, le MINTP a félicité la bonne collaboration dont a fait montre M. TAREK HERMI, chef de la mission de contrôle de SCET-Tunisie et ingénieur d’ouvrages d’art à la base, pour la phase 1 de l’autoroute Yaoundé-Douala en impactant de manière positive pendant cinq ans, l’exécution de cet important projet.
Dans la même lancée, le Ministre Emmanuel Nganou Djoumessi a également relevé le pragmatisme et la détermination de l’ingénieur tunisien dont l’expertise a été mise à contribution dans l’aboutissement du projet. De bout en bout, il aura été dans le cadre de mission, un bon conseiller pour le Maître d’ouvrage, tant en ce qui concerne les choix techniques que pour ce qui est de l’optimisation des opérations. Pour preuve ce mercredi encore, dernier jour de son séjour en terre camerounaise, il a fait des propositions d’aménagement de certaines voies, susceptibles d’être financées par des économies réalisées dans le projet et qui a permis de mobiliser une enveloppe de 1,400 Milliards FCFA.
À son tour, M.TAREK HERMI a remercié le Ministre des Travaux Publics pour ses orientations avant-gardistes tout au long du parcours, son ouverture et la considération à lui accordée.
Il faut relever que M. TAREK HERMI a passé cinq ans au sein de l’équipe-projet de la phase 1 de l’autoroute Yaoundé-Douala.
L’infrastructure aujourd’hui achevée, fait partie des meilleurs de la zone Afrique centrale, tant pour son profil en travers, que pour ce qui est des prouesses techniques. La fin de séjour en terre camerounaise de l’Ingénieur tunisien présage de la mise en service de cette section; un agenda pour lequel les équipes travaille déjà.
Il faut préciser que le Bureau d’Etudes techniques SCET-Tunisie accompagne le Cameroun dans la mise en œuvre des projets d’envergure depuis plusieurs années. En dépit du contexte quelquefois difficile en raison des retards dans le payement des décomptes, ce Bureau d’Etudes Techniques a toujours fait preuve de résilience.
Celcom MINTP